Longchamp pliage soldes Jean

21/04/2014 00:00

On préfère parler de sa journée de ski que du CAC 40. Mais pour combien de temps encore ? Depuis l'ouverture des Barmes de L'Ours (4 étoiles luxe) il y a deux ans, une nouvelle clientèle internationale plus aisée et exigeante a pris possession de la station, obligeant bon nombre d'Avalins à se remettre en question. Plus question de vivre sur leurs acquis. Les hôteliers rénovent leurs établissements, les restaurateurs font preuve d'originalité aux fourneaux, les magasins de sport soignent leur offre et les grandes marques de joaillerie sont à l'affût du moindre local commercial.Petit à petit, la station s'embellit. Après une première tranche de travaux dans les années 90, qui redonna au village les formes et les couleurs d'antan, grâce à l'utilisation de matériaux locaux comme la lauze, la pierre et le bois, aujourd'hui Michel Giraudy peaufine. «J'ai imposé les guirlandes blanches partout, interdit les banderoles publicitaires dans la rue et sur les balcons. Solde sac longchamp pas cher
3 000 sapins ont été plantés et le centre n'est plus déneigé pour que nous puissions tous profiter d'un joli décor naturel. Je rêve qu'un jour Val soit au centre d'une clairière.»Parallèlement, le domaine skiable se modernise. Le nouveau télésiège débrayable du Laisinant permet une liaison directe avec la station, évitant ainsi le retour en bus. Les pistes les plus fréquentées sont équipées de canons à neige afin d'assurer une qualité d'enneigement satisfaisante tout au long de la saison. Certains ont même été posés sur le glacier de Pissaillas pour sa sauvegarde et garantir le ski d'été.2009 : les championnats du monde à Val-d'IsèreMalgré une image de station très sportive, certains Avalins ne ménagent pas leurs efforts en proposant un florilège d'événements culturels de qualité. Longchamp pliage soldes Jean-Paul Shafran, propriétaire de «la seule librairie de toutes les montagnes françaises» (dit-il fièrement !), est aussi chroniqueur littéraire sur LCI. Ce passionné a lancé en 2004 le Grand Prix des lecteurs de Val-d'Isère, qui récompense un auteur de littérature française. Sylvain Tesson, Marie Darrieussecq, Agnès Desarthe, Geneviève Brisac ne se font pas prier quand il s'agit de participer à ses rencontres littéraires. Un peu plus bas dans la station, Jane Griffiths a osé ouvrir une galerie d'art contemporain avant-gardiste, dans une station où 92% des touristes sont avant tout là pour skier. En quelques mois, cette Anglaise, ex-directrice du marketing dans le monde du luxe, a su attirer, non seulement des artistes reconnus comme Sam Francis - exposé au MoMA à New York - ou le peintre français Francis Combas, mais aussi des collectionneurs du monde entier. Un exploit dans un petit village aussi loin de tout. Quant à Luc Reversade, restaurateur connu pour ses concepts originaux, il fait l'unanimité avec le Jack, un bar à tapas et musique «live» qu'il vient tout juste d'inaugurer dans l'enceinte de l'hôtel L'Aigle des Neiges. Longchamp pliage pas cher
Ambiance lounge sur profonds canapés de cuir, où l'on aime se prélasser jusqu'au bout de la nuit en écoutant les chanteuses aux voix envoûtantes.Mais le plus grand projet reste encore à venir. Val-d'Isère se prépare à organiser en 2009 la grande fête du ski des championnats du monde, ce qui n'est plus arrivé en France depuis 1962. Jean-Claude Killy, président du directoire du comité d'organisation, a décidé de marquer le coup : «Nous allons tous circuler à pied, en ski, en luge, en surf... laisser les voitures au parking, boire de la soupe chaude au pied des pistes, croiser des vaches et des chèvres dans le village.